1. "Il serait aujourd‘hui inadmissible que le Premier ministre, Monsieur de Villepin, décide du départ du Clémenceau, se soustrayant ainsi ŕ tout débat de fond devant la justice sur l‘illégalité d‘une telle décision au moment oů les associations saisissent les juridictions administratives, conformément ŕ ce que préconisait la cour d‘appel de Paris le 11 octobre." Ancien fleuron de la marine française, désarmé en octobre 1''7, le porte–avions Clémenceau a été vendu en avril 2003 pour permettre la récupération des métaux de sa structure.

2. "Il serait aujourd‘hui inadmissible que le Premier ministre, Monsieur de Villepin, décide du départ du Clemenceau, se soustrayant ainsi ŕ tout débat de fond devant la justice sur l‘illégalité d‘une telle décision au moment oů les associations saisissent les juridictions administratives, conformément ŕ ce que préconisait la cour d‘appel de Paris le 11 octobre." Les deux autres associations ŕ avoir déposé une requęte en référé sont le Comité anti–amiante Jussieu et l‘Association nationale de défense des victimes de l‘amiante (Andeva). "Notre demande est motivée par le fait que la décision de l‘Etat français de faire effectuer le désamiantage final en Inde fait courir un risque considérable et parfaitement inutile aux ouvriers indiens", affirment–elles dans un communiqué. Elles estiment qu‘il reste au moins 85 tonnes d‘amiante ŕ bord du Clemenceau.